Mowgli

Gueule de Boa

Dimanche 07 juillet 2024 - 21h00

Charlie Jazz Festival - Scène du Moulin, Domaine de Fontblanche, Vitrolles

BASTIEN ANDRIEU : claviers
FERDINAND DOUMERC : saxophones, flûte
PIERRE POLLET : batterie

Tout comme le héros de Rudyard Kipling ou Walt Disney, ce trio profondément libre s’aventure là où on l’attend le moins… Sauvage et insaisissable, le Mowgli du XXIème siècle vient du jazz, du rock, de l’électro, des musiques improvisées et de mille autres influences. Il n’aime ni les étiquettes ni les chapelles et défend une approche spontanée de la musique, offrant un délicieux mille-feuilles de textures sonores faisant la part belle à l’improvisation. Éruptives, rocailleuses, haletantes, les mélodies de ce groupe fou vont vous raconter des histoires de jungle moderne… Une B.O. actuelle et urbaine, rythmiquement bluffante, qui ne vous laissera pas indifférent !

Album : Gueule de Boa (BMC Records, 2023)

Dans la presse

« C’est truculent, atypique, cocasse, complètement anti-conformiste, plein d’allers-retours entre une esthétique froide comme l’acier et pleine de couleurs. Mais cette électro-jungle post-moderne – il faut repérer les sons qui signifient le fourmillement de mille et un animaux – est franchement jubilatoire. » Citizen Jazz (avril 2023), lire l'article

« Mowgli unit finesse des décalages métriques et barbarie des ruptures non consenties. [...] Il assume une sensibilité brûlante, multiplie les suggestions et réalise un album contrasté, intrigant, jamais plat ni consensuel. » Télérama (mars 2023), lire l'article

« Des riffs enivrants et accrocheurs se mêlent à des thèmes expérimentaux, des grooves asymétriques mais dansants. On pénètre de plus en plus profondément à travers la végétation luxuriante de la musique, comme dans une jungle. » France Musique (janvier 2023), lire l'article

« Un savant mélange de l’harmonie et des rythmes asymétriques qu’on sent inspirés de maîtres comme Hermeto Pascoal ou Herbie Hancock, dont l’aboutissement est une transe traversant tout l’album, ponctuée de riffs mémorables et d’ostinatos enivrants. Un entrelacement d’influences et d’images invitant à s’y enfoncer comme dans une jungle aux odeurs alléchantes et aux bruits mystérieux. » Jazz Magazine